200 mots par minute, ça compte

Dans le magazine Stratégies du 17 janvier, retrouvez un dossier sur le succès des assistants vocaux et des voicebots. Ces agents conversationnels donnent le change aux consommateurs : ils permettent d’obtenir rapidement une information demandée par la voix. L’avantage ? Pour les utilisateurs, c’est la rapidité d’exécution de la demande (et de la réponse), tandis que les entreprises ouvrent la voie(x) à de nouvelles méthodes de communication.

Dans ce dossier, Robin Coulet, directeur associé de l’agence Conversationnel, s’exprime sur les raisons du succès de ces nouveaux échanges vocaux.

 

En premier lieu, le vocal facilite la conversation et la recherche :

L’intérêt central du vocal, c’est la rapidité : on communique 200 mots par minute par la voix, 70 sur un clavier et 31 avec un stylo. Les jeunes habitués à vivre sur leur smartphone adoptent facilement cet usage.

 

Les assistants vocaux : des objets pratiques !

Amazon Echo, Google Home… Vous en avez déjà entendu parler, n’est-ce pas ? Ces objets connectés ont donné le ton de la recherche vocale. D’après Médiamétrie, les enceintes connectés ont conquis le foyer de 1.7 million d’utilisateurs.

Pour Matthieu Frairot, directeur général de Fullsix France :

Le vocal n’est pas adapté dans un lieu public mais se justifie quand on est en train de cuisiner ou de bricoler.

 

Les entreprises vont devoir s’adapter

Le futur s’annonce vocal ! Conséquence : les marques vont devoir travailler leur branding vocal. Par chance, les agences digitales, dont Conversationnel, développent leur expertise autour de ce nouveau type de marketing. Dans Stratégies, Robin Coulet revient sur cet exemple très concret d’accompagnement de la marque Blédina dans la mise en oeuvre d’un assistant vocal dédié à la diversification alimentaire :

Le but n’est pas seulement de réaliser le contenu et le ton de voix mais aussi de définir le positionnement stratégique de la marque. La météo, la musique ou la recherche d’adresses cantonnent les marques dans une fonction utilitaire ; il faut une narration pour que celles-ci soient recherchées et choisies sur un assistant vocal. Les parents de jeunes enfants, qui ont souvent les mains occupées, sont intéressés par cette dimension.

Charte verbale, identité sonore, ergonomie d’utilisation… De nombreux paramètres doivent être pris en compte pour créer un voicebot de qualité, qui entre parfaitement dans la stratégie brand content des marques.

Mais chut, n’en disons pas plus pour le moment ! Si vous voulez en savoir plus, retrouvez l’intégralité du dossier dans le Stratégies N°1978 publié le 17 janvier 2019.

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